2014-2015, Le groupe tourne déjà beaucoup et tape fort alors qu’il n’a pas encore tout à fait trouvé LA formule.
A l’origine, Benjamin Lebert imaginait une fanfare instrumentale, or la musique cubaine appelle le chant. Les chœurs s’imposent d’abord à voix nues. Face à la puissance sonore, le mégaphone fait vite son apparition. On y est presque.
Avec un véritable chant lead, le sextet pourrait vraiment interpréter les chansons dans leur format traditionnel. Alors l’atout rare se révèle. Cyrille Maillard, qui connait sur le bout des doigts cette musique, se sent prêt à tenir le chant et les timbales en même temps. On y est.